1.Une réduction de l’efficacité énergétique
- Baisse du transfert thermique : Le tartre agit comme un isolant thermique sur les parois des échangeurs de chaleur, des chaudières et des serpentins. Cela réduit leur efficacité, augmentant la consommation d’énergie pour atteindre les températures souhaitées.
- Coûts énergétiques accrus : Une couche de tartre de seulement 1 mm peut entraîner une surconsommation énergétique de 7 à 10 % (source : études sur l’entartrage industriel).
2.Une détérioration des équipements
- Corrosion : Le tartre peut favoriser la corrosion sous dépôt, endommageant les canalisations, les pompes et les vannes.
- Usure prématurée : Les équipements doivent travailler plus intensément pour compenser les pertes de performance, ce qui réduit leur durée de vie.
3. Une perturbation des processus industriels
- Obstruction des canalisations : L’accumulation de tartre réduit le diamètre des tuyaux, limitant le débit d’eau et perturbant les processus de production.
- Risque de pannes : Les systèmes de refroidissement ou de chauffage peuvent s’arrêter en cas de colmatage sévère, entraînant des arrêts de production coûteux.
4. Une augmentation des coûts de maintenance
- Nettoyage et détartrage fréquents : Les interventions pour éliminer le tartre (détartrage chimique ou mécanique) génèrent des coûts supplémentaires et des temps d’arrêt.
- Remplacement des pièces : Les équipements endommagés par le tartre doivent être remplacés plus souvent.
5. un impact sur la qualité de l’eau
- Contamination possible : Dans certains cas, le tartre peut se détacher et contaminer les produits finis, notamment dans les industries agroalimentaires ou pharmaceutiques.